dimanche 14 février 2010
CONCLUSION du voyage
Bon voilà, si vous voulez avoir la vraie conclusion de cette extraordinaire aventure de Om et Fem au pays des contingences blondes et australes . Va falloir sortir le camembert et le sauciflard, et ouvrir la bouteille de pif....
petites vacances chez hans et janett avant décolage....
Retour a Noosa, soignés aux petits oignons par nos potes Hans et Janet, qui ont sorti pour l'ocasion de l'Australian Day le drapeau hollandais, qui retourné fait un peu franchoullardou!
Et leur nouveau chien, Ludo (ben oui, et heureusement qu' il ont pas acheté de vache) a toujours un oeil ouvert sur les reste.
allez, une dernière tortue flottant dans une mer a 27 degrès, et un dernier koala siestant dans une ambiance tropicale à 34 degrès.... ca y est, on se casse....... ouais!!!!! retour au pays des dahus fous8!!!!
mardi 26 janvier 2010
S'évader....
Melbourne ça a été de belles rencontres donc, mais aussi de belles évasions. Grâce à nos potes de boulots, on a réussit à prendre la poudre d'escampette, et aller muscler nos poignées d'amour sur des rochers tendres et des paysages magnifiques. Et devinez quoi on a même eu du soleil...
- Voir du caillou
- se baigner dans des lacs de montagne même pas gelé, faire un feu le soir et griller un bout de chorizot... on adore
- Et c'est pas 8 heures de route aller-retour qui on fait peur a Om, Fem et Sue (manager de Fem) pour aller coincer du fer dans un des top ten site of rock climbing in the world (whaaaa c'est bo la vie)
- même qu'on a perdu ma manager dans la montagne à un moment, mais on a finit par la retoruver
- et qu'on s'est régaler
Melbourne third R : recontre avec des gens
Ben oui, quand même, on a fait de belles rencontres. La vie avec les colloques, c'était chouette, même si chacun a ses vielle manières et son caractère de chacal.
On a fait du jardinage, on a été visiter une radio gay, on a partagé des recettes, On a essayer de parler japonnais,
on a été a des concerts de soutiens pour les assylum seekers,
on s'est bien marré à l'open de tennis,
- Kazu et l'okonuiaki, en échange on lui a acheter du bris de maux bien coulant. Résulat : on a faillit finir au samu pour cause detentative d'empoisonnement sur un japonais
Je suis comme mon père, fan de Monfils!
on a pris la pluie (pour le nouvel an) avec 10 nationalités differentes. Bref, des tas de trucs qu'on fait en couple sauf que là c'est avec des gens qu'on ne connait pas a priori. et qu'on a envie de connaitre.Spéciale amitié avec Kazu, notre japonais de service ( il en faut toujours un), qui aime les voiture et les avions, et qui aime les gens, et qui donne toujours un sourire a qui veut.
Melbourne second R : Rââââle
Ben ouais, seul hic: le temps.
Non mais sérieux sans déconner, comment c'est possible d'avoir 40 degrés un jour et le lendemain il fait 14°c a peine. Vous y croyez vous, J'ai du vivre avec une écharpe pendant 3 mois en plein été???? grmlf. Bon on a finit par accepter une mission de l'ONU en Etiopie ou persistent de grave problème de sécheresse (et pas que).
lundi 25 janvier 2010
Melbourne first R : rencontre avec la ville
Ben oui, Rencontre. Ca parait bête comme ça, mais vu que ça fait un an qu'on a pas traversé de ville europeenne, voilà notre première surprise melbournienne: la rencontre d'une sorte de vraie ville.
Pas que Melbourne ressemble a Lyon, à Paris ou à Berlin, mais avec son centre ville habité, ses petits quartiers plein de vie et de concerts, ses parcs squattés, ses arts de rue, ses terrasses et ses ruelles, on a pris plaisir à se perdre dans le dédale.
Évidemment, certains nous diront que Sydney a aussi a son dédale. Malheureusement, on n'y est jamais passer vraiment. Pis de toute manière c'est pas le sujet. alors, on s'assoit, on écoute et on se tait.
Ici les arbres ont des cicatrices, les ruelles font de l'art deco et des collages, les batiments dessinentt d'étranges silhouettes, les rues s'interpellent dans des espaces publics, les gens sont noires, jaunes, rouges, caramels, blancs, crêtu, crépu, corrompus, bref... y a plein de truc à voir.
Alors oui on a craquer un peu, on s'est fait des resto, des bars, des pubs, des takeaways, des musées (chercher l'erreur). Enfin, disons que notre rencontre avec Melbourne a été progressive, puisqu'aui début on était fauché (considérez qu'un mois pour nous à errer dans une ville sans pouvoir gouter aux cuisines locales et aux musées c'est hard core), ensuite on a vendu le van (marf), on a été riche quelques minutes, pis on a quand même faiut les serieux, quelques resto, quelques bars, quelques musées, mais quand même hein...
pis alors le dernier mois, c'est fou tout ce qu'on a claqué. on est devenu japanese food addicted, on a été a l'open d'australie, au cinoche, bref. Finallement, c'est comme si la ville nous avait livré ses secrets au fur et a mesure, et sous trois visages différents.
Conclusion : on adoooore la ville, et melbourne c'est chouette, mais :
- ça fait grossir,
- ça rend dépendant,
- au bout d'un mois on ne pensait qu'à une chose : retrouver la liberté de courrir nu dans les prairies sauvages avec de grands chiens mouillés. Non. Bon, l'image va un peu loin, mais en d'autres termes, on a besoin de vert, de montagne, de grands espaces. On est definitivement pas des urbains. Ca n'empeche pas d'aimer les chaussures et les magasins de Mac.
C'est fou...
... comme le temps passe quand on arrive en ville. Sans dire qu' on a retrouver le rythme parisien a Melbourne, on a cependant pas trop eu le temps de faire l'état des lieux de l'aventure depuis quelques mois. Fo dire que Mossieur a fait le tour des ministères et le canard dans la mare des chercheurs, et que Modame s'est fait les dents (et pas les ongles) dans un bureau d'étude avec comme mascottes principales un canard fou et un chien taché ( un dalmatien en d'autres termes).
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